C'est la première image qui me revient à l'esprit. Nous venions de débarquer. C'étaient les premières toilettes japonaises. Malgré la fatigue du décalage horaire, ce fion m'a fait rire.Café en boite à l'arrivée, servi chaud au distributeur.
Encore une ambiance de transport en commun sans beaucoup de partage : une salle de jeux électroniques.
Restaurant du soir derrière son noren, ce petit rideau d'accueil.
L'audio collectif est très courant : bruitages des feux de circulation, hauts parleurs des véhicules officiels, sonneries des engins de chantier, accueils des magasins et ascenseurs...
Il s'agit d'être attentif au bien être : ici, une application de météo renseigne sur l'habillement adapté au temps de la journée.
On prend également soin des espaces collectifs, parfois avec des outils qui pourraient nous paraitre désuets.
Cette entrée, elle aussi, semble un peu ancienne. On vient ici acheter du saké...
... tandis que ce magasin de matériel photo remplit plusieurs étages d'un immeuble/
Dans le métro.
On ne fume pas en public. Des cabines réservent des espaces fumeurs devant lesquels on peut parfois voir une file d'attente.La place est comptée : il vaut mieux ne pas être trop corpulent.e pour sortir de la voiture.
Il est parfois plus rentable de démolir une vieille maison et d'installer à la place un parking payant. Les bâtiments derrière sont en sursis mais encore habités.
Dans ce pays à la terre remuante, on n'enterre pas les fils électriques mais on les transforme en pelotes impressionnantes.
Laver les billets pour une offrande...
A Tokyo, on peut réviser son petit Sumo illustré au bord de la Sumida.





































