samedi 28 septembre 2019

Grenoble




 Grenoble, à hauteur de rue, un jour ensoleillé de septembre. Dans les quartiers du centre, les terrasses des cafés sont déjà prêtes pour la foule de tout à l'heure. C'est samedi, c'est jour de balade.


Depuis qu'elle a domestiqué l'Isère, cette ville d'en bas peut s'étaler entre les montagnes toutes proches.


Vue d'en haut, Grenoble est moderne. Une ligne de tramway fait des va et vient sur gazon, cours Jean Jaurès.


Emblématiques de Grenoble, les œufs permettent la montée à la Bastille quand on ne veut / peut pas se servir de ses jambes. C'est dommage de se priver du passage par le jardin pentu qui est de toute beauté. les coureurs, grimpeurs, promeneurs en tous genres le savent bien, qui parcourent un terrain pentu fait de chemins paisibles, de sentiers caillouteux ou d'escaliers.


Les œufs du téléphérique urbain, petites cabines presque intimes, transparentes pourtant, liées les unes aux autres par convois de cinq d'où profiter de la vue sur la ville et l'Isère en glissant dans les airs.

Allez, changement d'air : un petit tour dominical dans le massif de la Chartreuse :


Le cirque de Saint-Même (orthographe ?) impose un péage pour y accéder en voiture. Il faut reconnaître qu'ils doivent se faire de la thune, du fric, du blé, de l'oseille, au vu de la foule qui pique-nique dans la vallée sous les cascades. A qui va la monnaie ? Je n'ai pas pensé à le demander. Dommage. Peut-être est-ce tout simplement cette habitude bien établie de faire payer. Après, quand il faut trouver des prétextes, il suffit d'un peu d'imagination : l'entretien, la limitation du nombre des visiteurs... C'est toujours le même principe qui veut qu'un possédant exploite ses possessions en disant les protéger.

Il y a foule en bas. Il y a des marcheurs sur les chemins qui montent le long des cascades dans les bois, les racines à fleur de sol, et les cailloux. C'est très beau.


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