Ils ne font pas dans la gastronomie, chez Air-Transat : sur un voyage vers Montréal, on mange trois fois, mais le goût n'est pas au rendez-vous :
- d'abord une collation une heure après notre départ vers midi de Charles de Gaule : quelques bretzels, et une boisson.
- puis un sandwich chaud, accompagné d'une boisson et d'un dessert constitué d'un sachets de petits gâteaux.
- enfin, avant l'arrivée, une pizza chaude, insipide et molle servie avec une boisson.
Les hôtesses sont agréables, elles proposent même des sandwiches en plus puisqu'il y a de nombreuses places vides. Non, merci, sans façon.
Le hublot nous propose une mer de nuages que l'avion va traverser à l'arrivée. Nous aurons ainsi aperçu la terre enneigée avant un atterrissage un peu acrobatique à Montréal.
Nous rejoignons un quartier sud ouest, près de Verdun dans un petit immeuble de trois étages. Le soir, nous pouvons découvrir les environs proches, un parc, le stade de soccer et rugby, l'avenue Monk, les quartiers pavillonnaires, les escaliers extérieurs sur la façade pour accéder à l'étage, les décorations de Noël pour lesquelles on va jusqu'à gonfler des personnages de Noël grandeur nature (c'est d'un goût... particulier).
L'hiver est anticipé : les voitures bénéficient parfois d'une tente provisoire quand elles ne stationnent pas dans la rue. Des chasse-neige étroits montés sur chenilles déblaient les trottoirs sur lesquels on déverse une grosse quantité de sel et de gravillons. C'est ce mélange bien collant qu'on rapporte sous les semelles jusque dans les logements.
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