mercredi 19 septembre 2018

Spetses


Spetses
Nous allons au "vieux port", c'est à dire ce qui paraît être le seul abri de l'île,  le "nouveau port" s'avère être constitué d'une jetée plantée dans l'eau et des quais pour la route côtière dans la ville.
Alors, ce vieux port, il ressemble aux autres avec le désordre qui y règne.  Des bateaux à peu près ancrés partout avec deux amarres sur à peu près n'importe quel point fixe. Il y a aussi des chantiers où on construit ou entretient des bateaux en bois traditionnel sur la rive est, des terrasses de restaurants sur l'ouest et même un distributeur de carburant caché derrière des bateaux, des amas d'embarcations au sud.


Nous trouvons un quai avec des places libres avant les chantiers, abrités derrière quatre cargos plantés là à couple.  Peut-être ne sont-ils employés qu'en été pour ravitailler les iles ?


La manoeuvre n'est pas simplifiée par l'obligation de laisser deux ou trois mètres entre le quai et le tableau arrière pour éviter de taper dans le clapot. Quand tout est fait, déjeuner, sieste, balade en ville, et recherche d'un supermarché.

La ville,  eh bien, c'est bordélique de notre côté et proprement touristique vers l'ouest,  quand on s'approche du nouveau port. Là, ça devient plus soigné, les magasins se multiplient ainsi que les deux roues dont le nombre et la circulation sont étonnants.


On retrouve des chats, comme à Hydra peut-être importés là pour réguler les rats ? Les ânes ont disparu. Il y a foule mais les autochtones semblent proportionnellement plus nombreux.

Beaucoup de maisons bien soignées, des calades au sol, et puis des bâtiments abandonnés,  des supermarchés fatigués à quelques rues de concurrents tout beaux tout neufs.

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