San Rémo, c'est
l'Italie. Dit comme ça, c'est une évidence. Nous avons fait une
étape courte depuis la France et le contraste est là. D'abord, les
conversations en italien, même si le français s'écoute un peu
partout, comme nous le vérifierons au marché ; et puis les deux
roues, la fringue, la conduite, le fouillis, le design, les
triporteurs à plateau, les carabinieri aux uniformes variés et
incompréhensibles, les italiens extravertis, le bruit, toujours...
San Rémo, c'est
aussi sa vieille ville, ruelles étroites en pente, en marches, en
tunnels, en montée vers des quartiers plus aérés, avec partout des immeubles même si des entreprises ou des villas s'échelonnent
sur les hauteurs. Ici, on constate moins d'entre soi dans l'habitat
qu'en France voisine. Les gens passent du temps dehors, font la
passagiata autour du port, discutent sur les bancs des places, se
reconnaissent, se saluent...
Mais les glaces à un euro, c'est terminé. Leur prix a bondi, comme
pour les chaussures, les habits, les fruits. San Rémo est une
station balnéaire courue. Il y a du monde partout et surtout dans
les rues piétonnes et leurs boutiques ou aux terrasses des très
nombreux restaurants.
Le port est animé ; voiliers, skiffs, école de voile, pêcheurs, ça circule, ça vit. Mais le grand chantier du vieux port ne semble plus travailler. Il n'y a plus de grand yacht sur le slip. Il reste seulement deux chantiers plus petits, tout à l'étroit, ainsi qu'un autre, bien à l'aise, du côté du port privé, de l'autre côté.
Le port est animé ; voiliers, skiffs, école de voile, pêcheurs, ça circule, ça vit. Mais le grand chantier du vieux port ne semble plus travailler. Il n'y a plus de grand yacht sur le slip. Il reste seulement deux chantiers plus petits, tout à l'étroit, ainsi qu'un autre, bien à l'aise, du côté du port privé, de l'autre côté.
Correctif du lundi.
Un gros yacht est tiré à sec au chantier où il reçoit sa douche de carénage. Les chantiers sont peut-être tassés sur peu d'espace, ils sont actifs, jouant de la grue et de la lance à haute pression.
Quant à nous, nous patientons, attendant une météo favorable : balades, lectures...
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