Moins d'une heure et demie pour venir aux Lérins, tout à la voile ou presque : il faut bien le moteur pour sortir du port au départ, prendre le mouillage à l'arrivée. Et il y a assez de vent pour qu'on doive soigner l'ancrage qui va être sollicité pendant quelques heures. Le plan d'eau agité évite les idées de balade à terre. On patiente en remuant un peu mais, surtout, en souhaitant une embellie avant la nuit.
16 nœuds au mouillage sans protection, pas mal
Le vent maintient le bateau face aux vagues ce qui diminue les mouvements à une amplitude très supportable. Le même vent qui va prendre son temps pour se calmer et, malgré les promesses de la météo, il faut attendre le début de la soirée.
Comme toujours, la mer met davantage de temps à se lisser. Elle remue encore quand il ne reste plus qu'une légère brise et c'est le.moment plus difficile, le bateau pourrait se retrouver travers aux vagues et notre sommeil en prendre un coup.
Pour l'instant, le courant remplace le vent, ce courant fréquent entre les deux îles. Il nous maintient droits, c'est sympa. Que ça dure le temps que la mer se lisse.
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