Premiers coups d'oeil en irlande

Bon, alors, cette jetée elle est publique ou non ? Je peux passer ? Il faut dire que ça dort un peu dans le coin.

Mais il y a un château, petit : une tour dont on visite l'intérieur.

Il arrive que nous trouvions un coin sympa pour passer la soirée et la nuit, avec un chouette paysage. Ce n'est pas systématique : il n'est pas toujours simple de trouver un lieu sauvage pour se poser.

Souvenirs, souvenirs des grands hommes. Les écrivains, mais pas seulement. Il y a aussi les sportifs, et les indépendantistes auxquels il semble qu'onn voue un culte. Ici, un boxeur du début du XX° siècle.

Vieilles façades de pubs toujours en activité. Les pubs, il y en a davantage que de bistrots dans la grande époque du village de ma grand-mère. C'est dire. Au retour, nous ferons une galerie de photos de devantures, toutes originales.

Il semble que le ramassage des recyclés soit privatisé. On s'abonne à des déchetteries. On a vu aussi ramasser des verres concassés, ce qui représente un gain de place spectaculaire. A d'autres endroits, les verres eux mêmes sont triés selon leur couleur.

Ce n'est peut-être pas Stonehenge, mais le principe est bien là. Un cercle de pierres datant d'un bon millénaire avant JC.

La guerre d'indépendance est rappelée en de nombreuses occasions. Des héros sont honorés dan sdes musées ou par de simples plaques dans les rues.

Un autre fait structurant de l'histoire de l'Irlande, la grande famine. Milieu du XIX° : le mildiou attaque les patates qui représentaient l'essentiel de la nourriture que pouvaient se payer les Irlandais du commun. Misère, décès, émigration. Cette reconstitution d'un navire d'émigrants participe de la mémoire collective.

Restaurant pour toutous, en plus de la carte pour les clients bipèdes. L'humour n'est pas très loin. Il n'y pas besoin de gratter beaucoup. mais, au premier degré, je ne sais pas si ça marche !