mercredi 13 octobre 2021

Avions, zincs et compagnie

Qui nous a dit qu'il y avait des travaux sur l'autoroute de Clermont ? 

Rien, nous n'avons rien vu du tout, aucun ralentissement perturbateur susceptible de nous stresser. En clair, nous étions très en avance ce matin. Nous avons fait notre première attente d'une série induite par les vols en correspondance.  

La douane. J'ai encore oublié un canif dans les affaires. Adieu mon petit Igonokami, je ne m'en servais pas (je l'avais d'ailleurs oublié dans les affaires) mais ça m'a fait mal de le voir partir comme ça. 

Le pire : c'est la deuxième fois que ce genre de mésaventure m'arrive. C'était à Vienne il y a quelques années et le douanier était bien moins sympathique que le clermontois qui n'y pouvait rien et s'est montré navré.  Pas tant que moi.  

50 minutes d'avion pour Charles de Gaulle. Un ciel morcelé. C'est rapide. L'attente à Paris est plus longue : ambiance de Gall de gare qui aurait trop grossi en s'habillant de clinquant et de foule. Heureusement, l'escale ne sera pas trop longue aujourd'hui.   À l'appel pour le vol vers Cayenne, la file de passagers bloqués sur deux agentes de l'aéroport qui contrôlent... un peu tout : fièvre jaune, Covid, passeport, carte d'embarquement. 

Ça bouchonne grave vers la Guyane et ça refoule aussi au gré des absences de documents ou de vaccinations. Qui a évoqué la distanciation physique ? C'est à un poil de distance bien raté. Et les illusions éventuelles tombent : l'avion sera plein.  On part bientôt.


1 commentaire:

  1. Profitez bien, mais ça commence par un bon gros coup d'attente atmosphérique...
    Bon courage pour ça, bisous !
    TC

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