dimanche 24 août 2025

Kabukiza

C'est encore un grand immeuble avec plusieurs entrées, une terrasse-jardin au cinquième étage où nous passons un moment pour attendre l'heure de la représentation. Pour le spectacle, il faut revenir dans la rue pour changer d'entrée et repérer la file d'attente qui déborde largement sur le trottoir. Nous avons réservé en ligne et passons directement pour le quatrième étage. Ça change. 

Une grande salle dont les gradins plongent vers la scène, large et peu profonde. Une passerelle avance dans le public vers la gauche. Les décors de fonds de scène changeants, ce sont des dons d'entreprises et les noms des donateurs sont communiqués via les hauts parleurs. Beaucoup de couleurs dans le décor, de spectateur dans la salle presque pleine entre touristes et japonais dont quelques-unes en kimono. 

C'est l'heure. Des employés passent et brandissent des affiches interdisant l'usage du téléphone, de faire des photos. Puis les lumières s'éteignent alors que la scène est très éclairée.

Ca commence. Le chœur est composé d'hommes agenouillés,, immobiles. Kimonos identiques, voix, tambours, flûtes et shamisens. 

Danse collective puis un seul danseur pour faire le show. C'est assez long et les danseurs se remplacent. Mouvements stéréotypés entre mîmes, arts martiaux, hip hop. Alternance de danses collectives et individuelles, quelques sketches comiques. On ne comprend pas les paroles mais il semble s'agir d'un poème assez connu. Nous l'avons trouvé en anglais sur le net mais nous n'avons pas encore eu le temps de le lire

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