Le mont Fuji, il doit être au fond du décor, certaines photos l'attestent mais elles ont été prises par temps clair et ciel bleu. Aujourd'hui, il est sans doute derrière les nuages que l'humidité ambiante a créés, nous ne le verrons presque pas.
Mais nous avons une plantation et leurs propriétaires, jeunes et accueillants. Ça commence par une dégustation offerte, et puis des explications. On nous montre deux vidéos, l'une prise depuis un drone nous permet d'admirer le soin apporté à la plantation. Les quelques parcelles noires correspondent à ce premier thé vert délicat, le premier cueilli. Puis à mesure que le temps passera, les thés descendront en gamme et en prix.
Très raisonnables les prix. Outre la vente sur place , les débouchés passent par une sorte de criée aux enchères où les grossistes s'approvisionnent. Les prix seraient les mêmes qu'il y a trente ans quand le père a construit l'atelier de traitement.
On y brasse, on y étuve, on étire, on trie. Le film montre une chaîne automatisée. D'ailleurs, ils sont seulement trois à travailler ici et à traiter deux tonnes de feuilles par jour durant les deux semaines de récoltes, deux fois par an. C'est un petit enjambeur qui récolte en passant dans les rangs. Je crois que le Japon a été un précurseur dans ce domaine.
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