Pas trop envie de multiplier les articles, alors je me suis dit que j'allais poser ici un vrac encore plus désordonné que le reste.
Dylan et Lulika sont partis chasser tout près quand ils se sont aperçus qu'une petite bande de singes était proche, dans les arbres. Nous avons vu un singe face à nous, en hauteur, et puis le choc de la balle. Il a perdu l'équilibre, s'est rattrapé comme il a pu, a gigoté un peu pour finalement s'immobiliser là-haut, pendu comme un fruit mort. Florent me dit que, dans ce cas, le singe tombe au bout de 5 ou 6h. Ici, c'est un singe Atelle, une espèce complètement protégée.
Pour ne pas le laisser ici, ou trop pressé, ils ont utilisé la tronçonneuse pour abattre l'arbre. Et il se trouve que c'est une femelle. Aminata enlève la poche de musc en haut de la poitrine sous la gorge et elle découpe les 4 membres.
Minès prépare le bois pour le boucan qui est relancé tous les jours pour éviter de perdre la viande.
Au carbet, il y a toujours quelque chose qui pend, ici un produit contre les insectes et la trousse à pharmacie.
Dans un cours d'eau en montant à l'inselberg, Florent me montre une écrevisse.
Gabriel regarde son père prépare le bois. Une partie de l'éducation passe par l'exemple et l'observation.
Un cabiaï dans les hautes herbes du bord du fleuve. La bête est impressionnante. Ce géant est un rongeur, le plus gros, placide. Il nage très bien. J'ai goûté un peu de viande de cabiaï boucanée, c'était excellent.
Gabriel montre un hocco abattu par Dylan ou Lamauri. Il sera rapidement plumé, préparé pour être mangé ou boucané.
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