Shirakawago

 

Shirakawago, c'est à une heure de route de Kanazawa, au sud, c'est une étape avant l'autoroute vers Nagoya puis Use.

Shirakawago, c'est un village aux maisons préservées, un de ces bourgs tout paumés il y a cinquante ans, devenu tout à fait touristique maintenant, été comme hiver.

Là, c'est l'été, il fait très chaud quand nous arrivons, poussés vers le parking par une équipe de guides armes de bâtons de signalisation. Alors on se gare à l'écart et il nous restera 500 mètres à faire à pied pour rejoindre les maisons.

Une personne jardine, un couvreur change le chaume d'un toit...

Shirakawago vit un tourisme estival et hivernal. Aujourd'hui, il fait largement 34 degrés ; cet hiver il y a eu entre 2 et 3 mètres de neige.

Cet hiver, la vue depuis ce café ne donnait plus sur les rizières voisines mais était bloquée sur le blanc des congères. La propriétaire nous en a montré une photo sur son smartphone.

Quand on entoure un élément de la nature d'une corde ou d'un cordon, c'est sans doute qu'un kami l'habite ou le fréquente.

Dans le café, le menu propose un cheesecake basque ! Si, si, même que c'est parfumé au thé matcha.

Puis nous avons repris la route très vite abandonnée pour l'autoroute vers le sud.

Une étape sur une aire d'autoroute en début d'après-midi pour un déjeuner. Il est encore question de manger mais les Japonais nous valent largement quant à l'importance qu'ils accordent à leur appétit. Et c'est très bon. 

Le contournement de Nagoya va durer un moment avec de nombreux ralentissements sur l'autoroute et les échangeurs parfois impressionnants de volutes entremêlées. Et puis nous arrivons à Ise.

Tomaré. Regarde à gauche et à droite. C'est siglé sur la chaussée avant un croisement.

Promis, on regarde partout, et pas seulement pour la circulation mais il y a tant à voir.