mardi 29 juillet 2025

Les thons de Nachi Katsuura

 Hop, il faut du courage dans la vie. Ce matin, c'est petit déjeuner au port. En arrivant assez tôt, on peut assister à la criée. Alors c'est parti.


L'arrivée : ici, le hangar avec les boutiques  où nous projetons de déjeuner tout à l'heure. La criée, c'est dans une halle voisine.


Il ne faut pas trop lire les affichages : l'étage n'est pas ouvert, on fait comme on peut en faisant attention à ne pas gêner.


Le principe : les acheteurs tirent leurs poissons dans leur coin après marquage. Le thon coût cher et on le soigne particulièrement ; en témoignent les marquages. Ici, une dame coupe les queues. Dans un deuxième temps, on tranchera les nageoires pour éviter les piqûres. 


Tous ces thons alignés... Et tout va partir assez rapidement.


J'ai l'impression d'être dans une gigantesque boucherie en plein air, un marché protéiné où chacun est à sa place, sauf le thon qui aurait préféré éviter de croiser un bateau.


C'est sans limites. Il en reste des thons ?


L'idée du petit déjeuner à base de thon est un peu moins attirante. Ce n'est clairement pas un spectacle pour vegans.


Ces caisses sont les couffins d'un seul thon chacune, bien marquées.


L'intérieur du hangar avec ses boutiques de chaque côté d'une allée centrale. Ici, on a même un menu vegan mais ce n'est clairement pas le public visé.

L'extérieur des bâtiments est un peu passé. Deux langues sur le panneau affiché, et des immigrés à travailler sur un des bateaux dont la plupart sont désertés. j'imagine que les équipages sont ailleurs, peut-être au repos chez eux.

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